Traduire un peu ici, là-bas, ailleurs et partout

Ce qu’il y a de beau dans le métier de traducteur, c’est la liberté de travailler partout où l’on veut (ou l’on peut), sans nulle autre contrainte qu’une connexion à internet (et encore). Les deux principaux outils des traducteurs professionnels sont avant toute chose son cerveau (ses compétences en langues : sa connaissance de la langue source et sa maîtrise absolue de la langue cible) et de quoi écrire, le plus souvent un ordinateur portable. 

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On peut traduire sur un banc public, dans le bus, sur la table de la salle à manger ou sur les genoux. Et quand il fait beau, c’est tout volontiers que l’on ira profiter de la douceur tout en travaillant à ses traductions. Quand on voyage, on profitera du temps de vol entre Madrid et Quito, entre Paris et Istanbul, entre Bordeaux et Amsterdam. Bref, partout où le traducteur peut mettre son temps à profit, il en profite. 

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Quand c’est urgent, on peut traduire un article scientifique en voiture ou dans la voiture (c’est selon), sur le pouce ou sur le bord de la route, parce que même en vacances, le traducteur traduit. Alors oui, votre traducteur pourra éventuellement traduire votre nouvelle ou s’adonner à la traduction juridique à la terrasse d’un café de Sultanahmet, perché du haut d’un páramo à 4500 mètres d’altitude, assis sur une pierre au bord d’un torrent de montagne au fin fond de l’Aragon, dans le train menant de Rome à Naples…

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C’est aussi s’accorder le confort de traduire à son propre bureau, conçu et agencé en fonction de ses propres besoins. La seule contrainte que nous autres, traducteurs, avons, est de rendre une traduction de qualité irréprochable dans les temps impartis. Et ça, on peut vraiment le faire depuis partout.

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Alors, au nom de cette liberté du traducteur, bon vent !

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